Je suis Charlie
J’emmerde…
Un autocrate sait tuer des hommes. Il ordonne les tueries afin de garantir ses pleins pouvoirs. En terre d’islam, un autocrate réellement avisé devrait tuer tous les religieux qui lui disputent son omnipotence. L’absolutisme ne se partage pas. Aussi l’autocrate averti ne peut que forcer les religieux à refluer dans leurs mosquées, pour ne plus jamais en ressortir. La charia contrecarre fondamentalement son autorité. Elle sape sa suprématie. La caste religieuse qui détient une portion du pouvoir politique s’efforce toujours de l’augmenter, sans relâche. Il faut que l’autocrate soit débile pour tolérer cette ingérence infondée dans le domaine de ses prérogatives. A cause de la charia, l’autocrate joue un rôle de comparse. Les chefs religieux lui ch… dans les bottes. Sérieusement, qui doit déguerpir du champ politique? Fricoter avec les religieux, c’est se faire b… par eux, sans vaseline. L’autocrate qui accepte l’intervention politique des religieux n’a pas plus de c… qu’une fiotte. Après un nombre suffisant d’exemples édifiants, l’ombre des fourches patibulaires est un signe d’en haut que les religieux comprennent parfaitement. On combat le poison avec du poison, en recherchant l’exact dosage. Par rendement politique, ne pas dépasser la quantité de morts efficace. Quantité nécessaire en autocratie. En démocratie, cette quantité, réduite à l’indispensable, sera moindre. Quand un régime autocratique devient caduc, les masses populaires ont toujours la possibilité de le faire tomber.